Traducción y punto. Programas de voluntariado para traductores

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Utilizar las competencias profesionales para aportar nuestro granito de arena a una causa con la que nos sintamos comprometidos es una manera excelente de realizar una labor social al tiempo que adquirimos experiencia y nos damos a conocer en nuestro sector.

Muchos estudiantes o traductores recién titulados ávidos por aprender y comenzar a añadir líneas al apartado experiencia en sus currículos deciden participar en programas de voluntariado. No obstante, esta alternativa de colaboración solidaria no solo seduce a este grupo del sector. Numerosas agencias y empresas, así como traductores particulares con una cartera sólida de clientes, deciden involucrarse en proyectos de voluntariado en traducción. Al fin y al cabo, a todos nos gusta contribuir a una buena causa con aquello que mejor sabemos hacer.

Si estás buscando algún programa de voluntariado, echa un vistazo a la lista que te proponemos en Local Concept:

Fundada en Francia en el año 1993 con el nombre de Traducteurs sans Frontières, esta organización sin ánimo de lucro opera a nivel internacional gracias al trabajo de patrocinadores y traductores voluntarios. Sus proyectos se centran en temas relacionados con la salud, la nutrición y la educación. Translators without Borders (TWB) tiene por objeto superar las barreras lingüísticas para permitir que la labor humanitaria llegue a cualquier parte del mundo.

La Agencia de la ONU para los refugiados ofrece programas de voluntariado en diversas áreas, tanto presenciales como en línea. Para los traductores, existe la posibilidad de darse de alta y recibir alertas por correo electrónico con proyectos que se ajustan a nuestros idiomas de trabajo.

voluntariado

La fundación Hazloposible propone programas de voluntariado presencial, virtual e internacional. En el buscador de su página web podemos encontrar áreas muy diferentes (Medioambiente, ayuda humanitaria, cooperación al desarrollo, entre muchas otras). Si escribimos «traductor» o «traducción» en la barra de búsqueda por palabras, encontraremos programas de voluntariado en diversas fundaciones. También ofrece un servicio de suscripción por correo electrónico, para recibir alertas con programas que coincidan con nuestras áreas de interés.

La popular TED es una organización sin ánimo de lucro que recoge ideas que, en sus propias palabras, «vale la pena difundir». Podemos participar de manera voluntaria subtitulando los videos de las conferencias o charlas TED, entre otros.

  • En definitiva, cualquier ONG o fundación

La mayoría de las ONG y fundaciones que operan a nivel internacional o multilingüe suelen necesitar traductores voluntarios. En sus páginas web, muchas de ellas ofrecen la posibilidad de registrarse como traductor voluntario. Escoge la que mejor se adapte a las causas que te interesan y echa un vistazo a su web.

No hay duda de que los traductores desempeñamos una gran labor: hacer posible la comunicación entre diferentes lenguas, sorteando barreras culturales y lingüísticas. Hacer de este trabajo una herramienta para mejorar el mundo es una idea excelente. Además, si con ello conseguimos ganar experiencia, desarrollar nuevas competencias o explorar nuevos áreas de nuestra profesión, ¿qué más podemos pedir?

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Traduction, c’est tout ! Qu’est-ce que la post-édition ?

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Analyse des caractéristiques principales de la post-édition

À moins que vous ne travailliez dans le secteur de la traduction, il est peu probable que vous ayez entendu parler de la « post-édition ». En quoi consiste la post-édition ? Quelle est la différence entre la post-édition, la traduction ou la révision telle que nous l’entendons ? La post-édition correspond-elle à ce dont j’ai besoin ? Si après avoir entendu ce terme, vous vous posez encore toutes ces questions alors il se peut que cet article vous intéresse.

En quoi consiste la post-édition ?

machine-translation-mt_352x282La post-édition consiste en la révision d’un texte traduit par un moteur de traduction automatique. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce type de logiciel n’est pas encore capable de traduire des textes en fournissant un résultat de qualité. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire de réaliser une post-édition afin de corriger toutes les erreurs et imprécisions générées par le moteur de traduction automatique ainsi que d’améliorer la qualité générale du texte traduit. Au cours de ce processus, il est indispensable que les linguistes chargés de la post-édition portent une attention particulière à la grammaire, à la ponctuation, au style, la cohérence, la cohésion, la fluidité ainsi qu’à la disposition et organisation du texte au cas où cela serait également nécessaire.

Caractéristiques de la post-édition

Il est possible que vous ne soyez pas convaincu(e) par la définition que nous venons de vous donner et que vous pensiez qu’il s’agit simplement d’un terme moderne utilisé pour faire référence à la tâche de révision étant donné que les caractéristiques de la post-édition et de la révision se fondent parmi les processus habituels de contrôle de la qualité suivis par toute agence de traduction digne de ce nom. Cependant, il existe des différences importantes entre la post-édition et la révision « traditionnelle ».

  • Nature du texte traduit

Lors du processus de post-édition, la traduction est générée par une machine et non pas par un linguiste. Bien que cette différence soit évidente, celle-ci a des conséquences majeures sur le processus de travail. Après tout, la préparation d’un plat précuit n’est pas la même que celle d’un plat fait maison !

  • Type d’erreurs

Les erreurs générées par les moteurs de traduction automatiques sont généralement différentes et plus fréquentes que lorsque la traduction est effectuée par un professionnel. Bien que les coquilles ne soient pas très fréquentes dans les traductions automatiques, les textes traduits sont très souvent des calques ou traductions littéraires où l’absence de style est flagrante. Les expressions idiomatiques sont traduites littéralement et, la plupart du temps, les phrases sont incohérentes ou n’ont pas de sens.

  • Agilité de la tâche de post-édition

Si nous comparons un processus de traduction normal avec celui de traduction automatique + post-édition, il est possible que ce dernier soit plus rapide. Cependant, cela dépend grandement de la typologie du texte à traduire, de la qualité du moteur de traduction, des outils utilisés et de la révision à effectuer. Il est indispensable d’étudier le projet au préalable afin de déterminer si la post-édition permet effectivement de travailler plus rapidement et de réduire les coûts.

  • Qualité attendue

Bien que la qualité de toute traduction doive toujours être optimale, certains clients optent pour la post-édition lorsque qu’ils estiment qu’il n’est pas nécessaire que la traduction soit parfaite. Alors avez-vous besoin d’un texte impeccablement rédigé en vue de le publier ou de l’envoyer à vos clients ou d’une révision rapide afin que le texte traduit soit compréhensible en vue de le faire circuler en sein d’une société ? La qualité attendue doit être indiquée avant de solliciter ce type de service afin d’éviter toute mauvaise surprise.

  • Processus technique de la post-édition

Il est impossible de concevoir la post-édition sans tenir compte du processus technique inhérent à celle-ci. Si la post-édition est effectuée de manière adéquate, elle est généralement précédée de la configuration des paramètres du moteur de traduction automatique, de la conversion des formats des documents afin de pouvoir travailler avec ces derniers ainsi que d’un processus de pré-édition du texte. Une fois la post-édition terminée, le texte corrigé est « rechargé » dans le moteur de traduction en vue d’améliorer la qualité des traductions futures. De plus, il est indispensable de maîtriser les outils de traduction assistée par ordinateur pour ce type de projet afin de garantir un flux de travail continu.

La post-édition est-elle avantageuse ?

pre-post-editing-270x198La post-édition répond aux besoins d’améliorer la productivité et la rentabilité des processus de traduction afin d’être plus compétitifs dans le secteur de la traduction et de la localisation. Cependant, tel que nous l’avons déjà mentionné, l’adéquation de la post-édition dépend de la particularité de chaque projet ainsi que des outils et compétences techniques des professionnels qui proposent ce service. Il n’y a pas de réponse catégorique à la question posée ci-dessus. Si vous souhaitez savoir avec certitude si la post-édition est applicable à votre projet, contactez Local Concept afin de nous poser toutes vos questions et demander un devis sans engagement.

*Fuente de las imágenes:
-http://translation-blog.multilizer.com/language/es/el-pre-corregir-disminucion-necesidad-de-poste-corregir/
-http://alessandravita.com/evaluacion-sistemas-traduccion-automatica-postedicion/
-https://www.linkedin.com/topic/traducci%C3%B3n

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Traducción y punto. Asociaciones profesionales de traducción e interpretación

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Como en cualquier otra profesión, en el sector de la traducción también podemos encontrar numerosas asociaciones profesionales. A falta de un colegio profesional que regule de forma centralizada esta profesión, en España existen numerosas asociaciones enfocadas a diferentes ámbitos y especializaciones del sector. Si todavía no tienes claro qué son y para qué sirven las asociaciones profesionales de traducción, no puedes perderte este pequeño resumen que hemos preparado en Local Concept.

¿Qué son y qué hacen las asociaciones?

Una asociación profesional es simplemente una agrupación de profesionales de un mismo gremio que comparten un interés común. El principal objetivo de las asociaciones de traducción e interpretación es hacer progresar a la profesión de distintas maneras. Generalmente, sus actividades van destinadas a mejorar la visibilidad de la profesión, a defender los derechos de los profesionales, a fomentar la colaboración entre sus miembros e incluso a reconocer la labor de algunos traductores destacados. Esto se traduce en congresos, concursos, charlas, cursos, seminarios o cualquier otro evento en los que puede participar cualquier interesado con algo atractivo que contar.

¿Qué beneficios obtienen sus miembros?

Las asociaciones profesionales ofrecen una excelente fuente de recursos e información para todos sus miembros. Normalmente, suelen publicar revistas especializadas o boletines informativos con novedades e investigaciones de interés. También suelen poner al alcance de sus miembros foros y listas de distribución para compartir conocimientos y fomentar la colaboración. Además, formar parte de una asociación es un distintivo de profesionalidad frente a nuestros clientes y, en ocasiones, estas asociaciones suelen divulgar ofertas de trabajo entre sus miembros o facilitar una lista de asociados para los clientes potenciales en busca de un traductor de calidad. No suele haber demasiados requisitos de inscripción y una de las pocas obligaciones de sus miembros es el pago de una cuota anual, que normalmente suele ser muy reducida.

Asociaciones españolas

Asociaciones profesionales de traducciónUno de los indicadores de la buena salud de nuestra profesión en España es la cantidad de asociaciones profesionales que podemos encontrar. Entre todas ellas, podemos mencionar algunas como la Asociación Española de Traductores, Correctores e Intérpretes (ASETRAD), la Asociación Profesional Española de Traductores (APETI) o la Asociación de Traducción y Adaptación Audiovisual de España (ATRAE). Otras muchas, desempeñan sus actividades y eventos a nivel autonómico, como la Asociación Galega de Profesionais da Traducción e da Interpretación (AGPTI), la Associació Professional de Traductors i Intèrprets de Catalunya (APTIC) o la Asociación Aragonesa de Traductores e Intérpretes (ASATI). También existen asociaciones para empresas, como la Asociación Nacional de Empresas de Traducción e Interpretación (ANETI), o asociaciones para estudiantes, como la Asociación Española Universitaria de Traductores e Intérpretes en Formación (AETI), aunque cualquier estudiante puede suscribirse a cualquiera de las anteriores.

Asociaciones internacionales

A nivel internacional, también existe una gran cantidad de asociaciones de diversa índole. Una de las más conocidas es la International Association of Professional Translators and Interpreters (IAPTI), pero también podemos encontrar otras como la International Federation of Translators (IFT) o la International Association of Conference Interpreters (AIIC). Por otro lado, a nivel nacional en el extranjero podemos destacar la American Translators Association (ATA), una de las más importantes en Estados Unidos y el Chartered Institute of Linguists (CIOL), con gran peso en el Reino Unido, pero existen muchas otras en Francia, Italia, Alemania, Bélgica, Suiza y prácticamente en todos los países con un idioma propio.

Esperamos que esta pequeña selección pueda animarte a inscribirte en alguna asociación profesional. Si te interesa profundizar más y descubrir cómo suscribirte, no dudes en acceder a los enlaces de cada de una ellas. Estamos convencidos de que te ayudarán a aprender y a crecer profesionalmente.

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Traducción y punto. El lenguaje no verbal: lo que dices más allá de las palabras

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Cuando hablamos el mismo idioma que nuestro interlocutor, es fácil comprender aquello que está diciendo pero, ¿y lo que expresan su postura, sus manos, su rostro o su tono de voz? El lenguaje no verbal es, cuando menos, enigmático. Por ello, no nos sorprende que la kinésica (o cinésica) se haya convertido en objeto de interés, estudio y, por qué no decirlo, también de mitos.

Todos hemos oído alguna vez aquello de que «una imagen vale más que mil palabras» pero, ¿es eso cierto? Al parecer, hay teorías que sí avalan el viejo refrán. El antropólogo Ray Birdwhistell descubrió que, cuando el comportamiento no verbal se contradice con lo que se está diciendo, tendemos a creer más en el componente no verbal, pues es menos probable que esté siendo manipulado conscientemente por el orador.

Otras teorías indican que si durante una conversación, una negociación o una cita personal tu interlocutor imita tu lenguaje corporal, es una señal de conexión. Las palmas abiertas se asocian a la honestidad —pensemos, por ejemplo, cuando al jurar un cargo público es costumbre mantener una mano alzada ante el interlocutor—. Apretar la mandíbula, tensar el cuello o fruncir el ceño son muestras de estrés, defensa ante posibles amenazas o disconformidad.

Ahora bien, ¿tienen realmente estos gestos un carácter universal? Los antropólogos no logran ponerse de acuerdo a la hora de determinar si existe realmente un lenguaje no verbal universal; es decir, una serie de gestos que tengan (el mismo) significado en cualquier rincón del planeta. Lo cierto es que, a pesar de la creciente globalización, parece algo bastante complicado.

La primera diferencia cultural en cuanto al lenguaje no verbal es la distancia entre los hablantes. Los antropólogos Stephen A. Grunlan y Marin K. Mayers indican que el espacio íntimo para un estadounidense es de dos pies (70 centímetros), mientras que en la cultura latinoamericana este espacio sería la mitad.

Por otro lado, en algunas lenguas el lenguaje no verbal es más frecuente. Es el caso del italiano, que ha desarrollado un importante sistema de comunicación no verbal. Posiblemente, esto se deba a que Italia ha sido tradicionalmente un territorio divido lingüísticamente por dialectos[1]. Los gestos han ido adquiriendo progresivamente importancia como instrumento de comunicación.

Los mismos gestos pueden tener significados muy distintos en diferentes partes del mundo. De hecho, utilizar determinados gestos habituales en el lugar equivocado puede dar lugar a situaciones cómicas y embarazosas. Veamos algunos ejemplos:

  • Levantar el pulgar para indicar que estamos bien será interpretado como indicar el número 1 en Alemania y el número 5 en Japón.
  • Si eres español y un coche te cede el paso en Grecia, no le muestres la palma de la mano a modo de agradecimiento. Este inocente movimiento español es muy similar a la μούντζα griega, un gesto que se considera tremendamente ofensivo en este país.
  • En algunos países, mover la cabeza de izquierda a derecha no significa rechazo o negación, sino afirmación. ¿Sabrías decir alguno?
  • En Tailandia no debes acariciarle cariñosamente la cabeza a un bebé o un niño. Se considera un gesto ofensivo ya que para su cultura esta parte del cuerpo es la más sagrada.

La siguiente fotografía de Pimsleur Approach contiene algunos gestos adicionales que te permitirán estar preparado para que tu lenguaje corporal no te delate en ningún lugar del mundo.

hand-jive-infographic

*[1] http://relinguistica.azc.uam.mx/no010/a05.htm

*Fuente imagen 2 https://www.pimsleurapproach.com/

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Traducción y punto. One language, two writing systems: Traditional and Simplified Chinese

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The number of people studying Mandarin Chinese has increased significantly in recent years. While the goal of most students is to be fluent in Chinese and communicate with native speakers, a few of them dare to immerse themselves in the intricate arts of writing and calligraphy. Chinese is undoubtedly a difficult language to speak, but it is an even more challenging language to write. Despite the diversity of accents in the different regions of China and Taiwan, Mandarin Chinese does not differ greatly when spoken. Conversely, written Chinese is clearly divided into two different systems: Traditional —used in Taiwan, Hong Kong and Macau— and Simplified —used in mainland China, Singapore and parts of Malaysia. If you want to check out a version of this article in Traditional Chinese, click here.

Throughout history, Traditional Chinese was the only writing system existing in all regions of China. After the establishment of the People’s Republic of China in 1949, character simplification was developed and implemented in the mainland. This new system would significantly reduce the number of strokes necessary to write the majority of Chinese characters. By simplifying writing and making characters easier to study, the government intended to facilitate and promote literacy amongst the uneducated masses. In the mid-1960s, Simplified Chinese became the official writing system of Mainland China.

Chinese

Thus far, the simplification of characters has not followed a specific set of rules. In fact, there is certain freedom in the creation of reduced characters, with different versions of one same character circulating among the people. Nevertheless, many characters did experience a transformation that seemed to follow similar patterns of simplification. The most common methods were the speed-writing calligraphy style and the reduction process:

The speed-writing calligraphy style. For the most part, the main shape and structure of the original —traditional— character remains unchanged, but with fewer strokes. Similarly as the calligraphy resulting from speed-writing when taking notes, some strokes of the pencil or brush are skipped in the process. For instance, the traditional writing for the word “car” (車 che) becomes 车 (che) in simplified. Similarly, the character for “door” (門 men) developed into the simplified 门 (men). This rule is considered the most intuitive and straight-forward.

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Reduction of elements. Many characters contain what is known as “radical” —a graphical component that can usually be found on a side, above or below the main body of the character. For instance, the traditional character for “noodle” (麵 mian) is formed by the radical 麥 (mai), meaning “wheat”, and 面 (mian), which provides a phonetic element to the character. Which element of the character is eliminated for the simplification? The explanation is simple: Chinese people learn to speak the language at an early age, but they don’t necessarily know how to write it. In order to help them study characters faster, the component chosen to remain in the simplified version is the phonetic element, 面 in this case, used as a single independent character.

The evolution of calligraphy and the connection between traditional and simplified characters are both fascinating. Traditional writing may seem more complicated, but the characters preserve the meaning and history behind each stroke. The easier approach of simplified writing encourages those learning the language, but often lacks the radicals that provide meaning to a word. Students can’t look at the components of a character to remember the meaning, and instead need to resort to memorization. Both traditional and simplified Mandarin characters have advantages and disadvantages for the students of this language. In the end, it all depends on your own learning goals and preferences!

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說ㄧ樣的話,寫不同的字—中文的正體字與簡體字

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近幾年來,學中文的人越來越多,絕大部分是希望能用中文與人溝通,少數人會深入學習書寫文字,畢竟說中文很難,「寫」中文是難上加難。然而中文說起來都相差不遠,書寫的時候卻分成簡體字和正體字,簡體字則是中國大陸的官方書寫文字,正體字是台灣的官方書寫文字,也是這篇文章所使用的書寫文字。

中華歷史中,一直都只有正體字的存在,直到一個世紀以前,中國大陸政府認為原本使用的正體字筆劃太多,不好學,為了讓更多人民能快速認識文字並獲得知識,正式推出簡體字,並立法將簡體中文作為官方書寫文字。

中文的正體字與簡體字

雖然簡體中文至今並沒有一套明確而完整的定義和規則,甚至可以自由心證自行創造新字,民間也流傳著各種版本的簡化字,不過約略都有同樣的簡化規則,包括模仿草書的快寫風格和抓取特殊部分的代替方式等,接下來快速以實例介紹兩大基本簡化規則。

草書的快寫風格,意思就是原本正體字的形狀基本上會留下來,只是筆劃減少ㄧ些,如同我們快速寫字一樣,偶爾會省略不重要的幾筆劃,像是車子的「車」,簡體字是「车」、房門的「門」,簡體字是「门」。這樣的簡化規則可說是最直覺、最基本的方式。

中文的正體字與簡體字

第二個普遍的規則是抓取特殊部分代替,單一個正體字常會包含數個小元素文字,如麵條的「麵」(mian) 裡就有「麥」和「面」兩個元素,麥子是因為麵是麥子製作的,面則和讀音有關,那該抓取哪個部份做為簡化後的文字呢?中國大陸的人民從小就能說中文,但不見得能寫字,因此為了讓普遍人民可以快速學習文字,在「麵」這個個案裡,最後是取讀音作為代替,簡體字就是單單一個「面」字而已。

正體字和簡體字之間的演變和關係其實非常有趣,正體字雖然筆劃複雜,但它蘊含整個中文書寫字的歷史和系統;簡體字因為筆劃簡單的特性,確實能在第一時間吸引學習者的興趣,但因為原本可理解的文字系統在簡體字中變得破碎,無法透過圖像和元素順暢推論文字的意思,只能透過記憶背誦的方式,才能記住文字的樣子。正體字與簡體字對於學習者而言各有優缺點,一切就看學習者學習中文的目的與喜好作學習目標了!

中文的正體字與簡體字

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Traduction, c’est tout ! Quelques pâtisseries françaises

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Charlottes aux fruits rouges, tartes au citron meringuées, Saint-Honoré, babas au rhum, fraisiers, forêts noires et chouquettes sont quelques-uns des noms de pâtisseries qui font le bonheur des gourmands.

La France, et chacune de ses régions, offre une grande variété de pâtisseries qui satisfont les goûts de ceux pour qui elles sont un péché mignon. Pour cet article, j’ai sélectionné mes pâtisseries préférées (enfin juste trois…), à savoir :

  • L’éclair (la religieuse)

pâtisseries françaisesMa préférée est la religieuse mais celle-ci est plus difficile à trouver à l’étranger. Étant donné que la base et la préparation sont les mêmes, seule la présentation diffère, j’ai décidé de les nommer ensemble.

L’éclair, appelé pain à la duchesse avant 1850 ou petite duchesse, est constitué de pâte à choux allongée et fourrée de crème pâtissière. Cette crème est généralement au chocolat ou au café bien qu’il existe également la variante à la vanille ou à la crème (cette dernière est plus rare en France et plus fréquente à l’étranger, notamment en Espagne). Les éclairs sont ensuite couverts d’une bande de fondant ayant le même parfum que la crème pâtissière.

  • Le Paris-Brest

Ce délice sucré en forme de couronne (ou roue) et constitué de pâte à choux a été créé par Louis Durant, un pâtissier de Maison-Laffitte, en 1910 à la demande de Pierre Giffard, le créateur de la course cycliste Paris-Best. Une fois cuite, la pâte est divisée en deux puis fourrée de crème mousseline à la praliné et enfin décorée d’amandes filées.

  • L’opéra

Le nom du créateur de l’opéra est un sujet discuté dans la mesure où plusieurs pâtissiers pourraient en être l’auteur ; Gaston Lenôtre, dans les années 1960, ou Cyriaque Gavillon, de la maison Dalloyau en 1955.

opera_gateau_6766468961-1L’opéra est constitué d’une succession de biscuit Joconde imbibé d’un sirop de Grand Marnier ou au café, ganache et de crème au beurre café recouvert d’un glaçage au chocolat ou saupoudré de chocolat noir amer.

Si vous êtes de passage en France, je vous recommande vivement de goûter ces petits plaisirs sucrés qui ne manqueront pas de vous surprendre. Il n’y a rien de plus plaisant que de s’assoir à une terrasse de café (chauffée, à cette époque de l’année) et de commander un café et une pâtisserie pour faire une pause et prendre le temps de regarder autour de soi. N’hésitez donc pas à succomber à la tentation !

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Traducción y punto. 5 consejos de productividad para traductores (II)

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Siguiendo nuestra serie de artículos sobre productividad para traductores, hoy volvemos a reunir una pequeña selección de consejos que pueden ayudarte a mejorar tu manera de trabajar. Si quieres ser más competitivo frente a tus compañeros de profesión o simplemente traducir más palabras en menos tiempo, y con menos esfuerzo, no te puedes perder este artículo.

  1. Encuentra un espacio de trabajo adecuado

El entorno donde trabajamos es un factor crucial para nuestra productividad en cualquier tipo de profesión. Aunque cada traductor tiene unas preferencias personales a la hora de configurar su espacio de trabajo, los expertos suelen coincidir en una serie de características comunes: una habitación con buena iluminación, climatización adecuada y alejada de interrupciones puede ayudarnos a ser más productivos. También es importante elegir una silla y una mesa ergonómicamente adecuadas así como seguir unos hábitos de postura saludables. Tanto si trabajas en casa como en una oficina, encuentra un lugar cómodo que te permita concentrarte al máximo posible, seguro que notarás rápidamente una mejora considerable en tu productividad.

  1. Organiza tus recursos para tenerlos a mano

¿No recuerdas en qué carpeta guardaste esa memoria de traducción que tanto necesitas ahora? ¿Llevas más de 20 minutos buscando un glosario en línea que consultaste hace un par de semanas? Para mejorar nuestra productividad, siempre es aconsejable organizar y tener a mano las herramientas que vamos necesitar para cada proyecto. No hay una única manera de organizar nuestras herramientas de trabajo: puedes guardar como favoritos en tu navegador web los diccionarios y bancos terminológicos que más consultas o crear un sistema de carpetas coherente para tener localizados todos tus archivos, por ejemplo. Sea como sea, el orden siempre es un excelente aliado en nuestro trabajo.

  1. Determina el alcance de cada proyecto

Si no concretamos con nuestros clientes cuáles son sus necesidades concretas antes de comenzar un proyecto, puede que acabemos haciendo más trabajo del estrictamente necesario, y que nuestro esfuerzo no tenga compensación de ningún tipo. Estas son algunas preguntas que puedes plantarte: ¿te han pedido que revises las coincidencias del 100% en una traducción? ¿Solo tienes que verificar que no existen errores ortotipográficos en tu tarea de revisión, o realizar una mejora estilística profunda del texto? Por el contrario, si el cliente considera que nuestro trabajo ha sido insuficiente, no solo dañaremos nuestra reputación profesional, sino que quizá tengamos que rehacer nuestro trabajo para solventar nuestras deficiencias, lo que perjudicará seriamente a nuestra productividad. Si quieres ser más productivo, ajústate al alcance de la tarea que te asignen, ni más ni menos.

  1. Reduce las reuniones y consultas innecesarias

student-849825_1280Aunque siempre es conveniente no dejar cabos sueltos, como comentábamos en nuestro anterior punto, hay que intentar no bombardear a nuestros clientes con consultas innecesarias o cargar nuestra agenda de reuniones insulsas que no nos ayudan a avanzar en nuestro trabajo. Posiblemente, el cliente no tenga preferencia sobre algunos aspectos «técnicos» de nuestra traducción, por lo que es preferible tomar una decisión justificada e informar de tus elecciones en la entrega. Del mismo modo, reunirse con todo el equipo implicado en un proyecto de traducción cuando no hay novedades destacables tiene poco sentido. Para evitar estas situaciones, lo mejor es seguir nuestra recomendación anterior y fijar tareas, criterios y resultados antes de comenzar a trabajar. Las interrupciones se reducirán considerablemente y podrás ser mucho más productivo.

  1. Aprovecha los momentos de poca carga de trabajo

No podemos negar la importancia de un buen descanso para rendir mejor en el trabajo, pero eso no implica hacer el vago siempre que se tiene la oportunidad. Aprovechar todas esas horas «muertas» dentro nuestro horario laboral para poner todo en orden, puede ser determinante para rendir mejor en momentos de mucho estrés. Puedes contestar a los mensajes menos urgentes, verificar que la facturación está al día, intentar captar nuevos clientes o simplemente hacer una copia de seguridad de tus archivos. Elijas lo que elijas, cualquier tarea puede ayudarte a evitar imprevistos en el futuro y estar preparado para lo que pueda llegar. ¡Aprovecha el tiempo!

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Traducción y punto. Adaptación de series estadounidenses III: Modern Family

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Si te has tomado mil cafés en el Central Perk, te fascinó la «molona matrícula» del taxi de Will Smith y juegas a «piedra, papel, tijeras, lagarto, Spock», sigue leyendo. Si conseguimos sacarte alguna que otra sonrisa con nuestras anteriores publicaciones sobre la adaptación cultural de «Los Simpson» y «Los Soprano», estamos seguros de que la de hoy no te defraudará.

Hoy en día, resulta casi imposible hablar de referencias a la cultura local en las series de televisión sin pensar en Modern Family. Esta popular comedia de situación recurre con frecuencia a situaciones cotidianas de la vida estadounidense en tono humorístico. Además el elenco cuenta con un personaje de origen colombiano, Gloria Delgado, que a menudo protagoniza situaciones en las que sus diferencias culturales con respecto al resto de personajes crean situaciones cómicas que rozan lo surrealista.

A través de este personaje se exponen ciertos rasgos (más o menos caricaturizados) sobre la cultura latina y su presencia en Estados Unidos. En muchas ocasiones los personajes tienen dificultades para entenderse por motivos lingüísticos y culturales. En la adaptación al español no siempre es sencillo plasmar estos malentendidos y conseguir que el público de destino las entienda de la misma forma que el original.

Por ejemplo, en el capítulo en el que Cam y Mitchell están fumigando su casa y se alojan con Gloria y Jay, Cam y Gloria comentan que van a pasar mucho tiempo juntos, a lo que Cam añade que serán igual de inseparables que «Fred y Ginger». Esta alusión a los artistas estadounidenses Fred Astaire y Ginger Rogers se mantuvo intacta en el doblaje para España, pues se trata de personajes popularmente conocidos. En cambio, Gloria contesta un «¿Quién?», posiblemente un intento de los guionistas por crear esta brecha cultural entre los personajes.

Adaptación

Sin embargo, muchas veces son otros personajes los que hacen referencias a la cultura hispana que deben ser modificadas en su adaptación en España. Por ejemplo, en una ocasión, una vecina de los Dunphy afirma: «I’ve always wanted a Spanish house. It would be like living in the Torino». En España se modificó por «una casa mexicana», ya que de lo contrario el comentario no tendría sentido para el público español.

Por otro lado, como indicábamos al principio del artículo las referencias a la cultura popular estadounidense son muy frecuentes en los guiones de la serie. En un mismo capítulo se pueden encontrar referencias al «trick-or-treat» de Halloween (traducido como «susto o chuche» en el doblaje de España), Beyoncé o Shrek. En todos estos casos, como ya hemos señalado en otras entregas, se requieren pericia y conocimiento cultural por parte del equipo de traducción y doblaje.

A continuación, veamos cómo se han adaptado algunos ejemplos:

  • «Being a realtor means working sundays, like priests and Lesley Stahl
  • «Ser agente inmobiliario significa trabajar los domingos, como los curas y los futbolistas».

En el doblaje en España la frase de Phil Dunphy fue adaptada cambiando a la periodista estadounidense por una referencia mucho más comprensible en el contexto popular del país: los domingos de fútbol.

  • «If it is Mary Ann and the Ginger.»
  • «Pero si son la vaca y la zanahoria».

«La isla de Gilligan» fue una comedia de situación estadounidense de los años 1960. En este contexto, esta frase tiene la finalidad de ofender a los personajes de Cam y Mitchell. El doblaje español optó por eliminar la referencia cultural y mantener únicamente la finalidad.

Otras Modern Families

Algunos países han optado por elevar el proceso de adaptación a su máximo exponente creando sus propias versiones locales de la serie Modern Family. Es el caso de Chile («Familia Moderna»), Grecia («Μοντέρνα οικογένεια») o Irán («هفت‌سنگ »).

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Traducción y punto. Parte III. Calidad frente a cantidad

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Además de los temas tratados en las entradas publicadas aquí y aquí respectivamente, un asunto que siempre genera conflicto entre profesionales de la traducción, empresas, traductores y agencias, y casi todo el público semiespecializado en general, es el de la prioridad lingüística: ¿cantidad?; ¿calidad?; ¿ambas?

De hecho, suele ser una pregunta formulada en casi todos los procesos de selección de cualquier agencia de traducción, y es la pregunta que aquí planteamos.

«Si tuvieras que elegir, ¿optarías por cantidad? ¿O darías prioridad a la calidad? »*

¡Cuidado! Es una pregunta trampa. Puede que, sea cual sea tu respuesta, nunca satisfaga al encargado del proceso de selección o al personal de Recursos Humanos.

Opción 1: cantidad. Favorita de los amantes de las noches en vela.

CantidadEn un principio, podríamos llegar a la conclusión de que en un entorno empresarial esta sería la opción ideal. Argumentos a favor no faltarían, desde luego.

El principal sería que estamos involucrados en una organización con ánimo de lucro, por lo que la rentabilidad es uno de sus principales objetivos. De ahí que podamos pensar que a mayor número de palabras traducidas, mayor será la satisfacción de la empresa.

Opción 2: calidad. Favorita de los meticulosos y atentos al detalle.

social-media-quality-v-quantityAl igual que ocurre con el punto anterior, son varios los argumentos que respaldarían esta opción. Por ejemplo, cualquier traductor con algo de experiencia en el sector es consciente que comprometerse a traducir más de 5000 palabras diarias no es, al menos en términos de calidad, viable de ninguna manera. Podríamos alcanzar esa cantidad diaria, por supuesto, pero esa tarea se asemejaría más a una simple traducción a vista sin ningún tipo de corrección o verificación posterior. Comúnmente se le conoce como «un auténtico desastre» de traducción.

Opción 3: mezcla de ambas. Favorita de los que no les gusta arriesgar.

CantidadUna mezcla de cantidad y calidad sería, a priori, la respuesta más sensata que se podría dar durante en un proceso de selección. O puede que no.

Traducir un mínimo diario «razonable» –entendiendo por razonable todo aquello que quede englobado bajo el umbral del término rentabilidad empresarial– y hacerlo sin errores o fallos es la opción más escuchada en los procesos.

Sin embargo, ¿cómo podemos estar seguros de que seremos capaces de traducir 3000 palabras al día de un texto que nos presenta las últimas novedades en materia armamentística?

No podemos. Así de simple.

¿Significa eso que no hay opción correcta a la pregunta inicial? No, pero dependerá principalmente de otros dos factores:

Objetivos generales de la empresa

Hay empresas cuyo objetivo principal es acoger el mayor número de palabras, mientras que otras optan por posicionarse en el mercado como auténticas defensoras de un producto de calidad. Así ocurre en cualquier sector; en de la traducción, Local Concept debe ser tu favorito.

Proyectos específicos con objetivos concretos

En algunas ocasiones, es el propio cliente quien te comunica el objetivo del proyecto. En Local Concept tenemos proyectos que forman parte de programas de maestría de prestigiosas universidades, manuales médicos para clínicas internacionales, políticas empresariales, o incluso comunicaciones intradepartamentales de una misma empresa. Aunque pueda parecer que todos requieren el mismo nivel de precisión, no sería razonable englobar el primer y último ejemplo en el mismo saco.

Por eso, si quieres vivir en primera persona la experiencia de contestar en directo a la pregunta «¿Cantidad o calidad?», consulta nuestra sección de vacantes aquí y no dudes en venir a nuestras oficinas.

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